Impact, tête en première ligne L’amnésie choc, gondole Aux étoiles, rivière d’opéra Que se passe-t-il ? Stop, allongeons guiboles Tourne, tourne tête etcetera Que se passe-t-il ? Incompréhension, Donnez-moi du temps Compression, éteint Manque d’attention Pimpon pimpon Que de questions Répétez-moi vos questions… Aiguille pour poin
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Littérature, BD & Poésie
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Où vont les anges ? Où partent-ils ? Où, où ? Oui, où ? Où partent les anges ? Où vont-ils ! L’autre jour, pis’ troubadour, Leurs plumes d’encre Banc, discours Ose, ose ! Tout n’est que rose! Ose, ose, entre ! Où donc en question ? Où est ? Où, où ? Oui, où ? Où est, indécision ? Oui l’être-aimée ! L’autre jour, vis’ t
Qu’adieu si on s’aime vraiment Si à ma trahison, dissimulation De silence, faux-semblant Mensonge à l’usurpation Même si j’abuse vraiment Non, aucune excuse Non, aucune n’récuse La faute, comme toujours A trop d’Amour Pénitence et châtiments Impossible sans sacrilège Mon âme n’appartient Ni à la vie, ni florilège d’enlier
Tribunal Accuse, à la barre du toi N’as aucune, détenu Geôle et croix Enfonce, délie-toi N’as aucune, perdu Prison en moi Aujourd’hui, au numéro Aligné qu’emmuré Prêt, fusillé Dénonce, à la vie d’egos Sans hésiter, appuyée M’écrouler, terminé Porte la pendaison Au vent de flottaison Parfum de naufrage Porte l’éliminati
Chim'hier Les gens qui se disent être amoureux, Peuvent-ils enfin être heureux ? Ne racontons pas n’importe quoi ! Ce savoir n’est pas à croire, L’amour requiert d’âmes, Pas d’love synthéthique ! Oui, l’amour est magique ! Oui l’amour stratosphérique ! Oui, elles, eux, vice versa, féerique ! Les gens peuvent parler, Raconter le
Malheureux dedans comment vain elixir survivre non pas de tristesse pas d’allegresse simplement non pas de liesse pas d’ivresse epuisement seul à l’essentiel seul d’elle manque au ciel L’ego-soleil a l’espoir pareil la couleur d’elle a la revoir pareil la Valeur, qu’elle
Si là, t’étais Et si c’était l’enfer Nous delà, l’été Sans hésiter, t’irais ? Si là, t’aimais Même si c’était hier Noues delà, l’éternité Homologué, Rêvéalité Majoritaire, la terre est ronde La lune, des milliers de cratères Et en tes yeux, inonde Le droit à la poussière Pleurer est un droit d’homme Que même;
Ne me demandez pas de courir ni d’écrire, peut-être pour y lire tant de kilomètres, tant à suffire nul geste d’affect à dire Qu’elle m’aime, fuir ! ne me demandez pas sourire ni d’en vivre, bien trop au pire pour si peu d’en guérir nul parole, qu’un folklore de sbire qu’elle aime, plus rien en avenir elle qui de terre ensoleil
Invisible rendez-vous Réellement Chère Amie Pressant Invisible excitant Tout au long ; à chaque pas Dans l’allée centrale Si absente à tout regard Les yeux dans ce tél Volontaire ou destinée Carrouf à la Ste Mathilde, 10h44 Venant de rayons, Plein vent, Et dans cette allée, cocâtre Odyssée Pas osé déranger, Quelle pensée sur moi Pir
Toujours Il faudrait dire qu’écrire Les maux qui déchirent ! Aux reflets, oser franchir Ce formol, nu souvenir Toujours À ce printemps, plaisir Là où volent papillons Là où cogne désir L’arbr’rêve s’entremêle À ce printemps qu’on aime Nos âmes aux vents Toujours D’elle, à l’errance, défile Paragraphe, mon livre, Deux mot