Relire les scènes 1 à 6 : L'autre espèce (Théâtre) 7 Dans le salon de Belline. Belline lit un magazine, Boniche dépoussière toujours. BELLINE. (Sec) Dépoussière en silence, je te prie, je ne m’entends pas tourner les pages ! BONICHE. Pardonnez-moi, Madame. -Silence- BELLINE. (Riant) C’est incompréhensible. Amour, émotion, poésie, pa
école Anatole France
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15/06/2009
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Littérature, BD & Poésie
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Souvent j'ai contemplé les étoiles sans nombre dans les nuits pesantes où le rêve me fuit, comme enseveli par le silence maudit Du verre vide qui semble perdre son ombre... les charmes envieux de ma douce solitude y cueillent des visions de folie et de mort ; le passé, l'avenir, toujours et sans remords ne montrent que du mal comme à leur hab
Ce soir là, Valentin, -Bien que je sois un lâche, Sans vraiment que je sache Pourquoi, j’ai pris sa main ; Et sans plus de raison, Ou peur qu’elle me lâche, J’ai sorti une hache, Lui laissant le moignon. Elle a poussé un cri Puis m’a couru derrière Jusqu’au fond de mon lit ; C’est là qu’est né Garrot, Ton frère, et que ta mèr
Au diable la raison ! Plein feux sur la jeunesse ! Cap sur la liberté ! Droit devant sur mes Dieux ! Adieu ! Pays natal…Bonjour à toi, Ivresse, J’ai du vent plein le cœur et du sel plein les yeux ; Et le vin galopant, et ce vin désirable Qui s’engouffre en mon corps et sort par mon regard ; Et ce chant qui me vient comme un pas dans le sa
L’AUTRE ESPECE 1 Salon de Belline BELLINE. (Autoritaire) Boniche ! BONICHE. Tout de suite Madame. BELLINE. Pas tout de suite, sur le champ, instantanément ! BONICHE. Excusez-moi de mettre autant de temps, mais j’étais tout de même de l’autre côté de la maison, essuyant les déjections de votre... BELLINE. Ne parle pas de déjections, Ale
La femme se tenait devant Les Deux Magots, Un trois-quarts sur le dos, un bonnet bleu-marine, Elle perdait au vent des éclats de sanglots. Un recueil dans les mains croisées sur la poitrine : Des poèmes d’amour qu’elle prit pour son corps, Sous des yeux océans où je voguais d’ivresse ; J’allais sur sa beauté, j’allais sur sa tristes
Hommage au village de Calvisson, commune du département du Gard proche de Nîmes, ville qui a beaucoup inspiré Ghislain Hammer entre 2006 et 2009. Chanson composée en 2007 que vous retrouverez sur le site non-officiel de la ville. LA CALVISSONADE Dans mon assiette Soleil Je vous le dis, sans pareil, Trône une calvissonade, C’est un bon plat p
Nouveau site officiel, nouvelle adresse. Le site évolue ainsi que l'écriture de Ghislain Hammer, retrouvez dès maintenant le poète et dramaturge dans un univers différent, mais avec toujours cette plume identique et pourtant différente. Site officiel
Quand la philosophie fait trembler l'évangile Et la sourate, les Védas et la Torah, C'est qu'il n'est plus très loin l'amour du gros Bouddha, Et son amour déjà fait peur au plus habile. Quel homme sur terre pourrait armer sa langue Et frapper violemment avec de puissant mots Ce gros Bouddha gentil qui parlent de cadeaux comme un Père Noël sa
L'on me nomme univers et l'on me dit obscur Mais qui vient vers moi rencontre mes étoiles, Et qui m'envoie ses yeux comme on hisse des voiles Connaitra du passé les rêves du futur. Je sais la terre une île, infantile et enceinte, Guettant à l'horizon un soleil différent, Car étant l'univers je suis aussi parent Et je sais son désir de se re