Anonyme
Anonyme
Moi : "Confus et aphasique" ; le reste du temps, ce n'est plus moi.
Ses blogs
Le blog de l'Anonyme
Quelques mots : poèmes, textes, réflexions sur tout et sur la littérature surtout.
Anonyme
Articles :
90
Depuis :
25/10/2009
Categorie :
Mode, Art & Design
Articles à découvrir
Dilution Céleste D'une goutte de pluie Sur l'eau Circulaire de la vie Instant de silence Qui déploie son élan Sur tout l'avenir qui S'éprend de mes nuits Je ne sais plus Où les ténèbres sont Et où le jour finit Je ne sais plus où Le ciel s'éteint Où il faut être Pour se contenter d'être Je ne sais plus Vivre à l'intérieur De la vie N
Une fois qu'on trouve le vide, il faut se réadapter déraisonnablement à l'absurdité de la réalité.
Arc-en-ciel noir au coeur Ralentis La vitesse de tes Couleurs Tu t'enroules autour du monde Qui tourne sans pouvoir Retenir mes peurs Tu siffles souffles un arc Sans musique La corde tire Sur le son cruel De la noirceur entière Les repères s'évaporent Sans cesse Filent sous mes doigts Qui filent dans l'attente D'un jour sans besoin De lendemain
Elle Nuit au jour Tout comme elle Joue De mon étoile Vide.
rêve la nuit il faut avancer déplacer le jour rêve la nuit qui se perd seule emballer le jour ils exportent le froid clair dans les heures à moi les heures sans moi descendre six pieds plus bas plus bas terre tremblante terre ouverte terre attristée terre vernie descendre et regarder le ciel en feu il semble que les étoiles se perdent dans le
L'écriture, Perdue. Il fait jour Il fait nuit Et c'est ainsi C'est aussi simple Qu'une averse Brisée contre le sol.
"J'étais en plein océan. Nous voguions. Tout à coup le vent tomba."
Et le silence s'arrête avec moi. Déluge La plume suspend Sa distance A un pied De ma main Définition : Ecrire : Instinct De la vérité (Parfois je doute) Vrai Alors j'arrête D'écrire. J'attends Mais j'ai tort Ecrire : Ecrire.
Tableau en trois temps Les couleurs chargent Les cimes des arbres D'une douleur étrange Rougeur, pourpre Eclat déclinant de l'hiver Sans un seul flocon de neige Scintillants morceaux De l'âme en douceur : "Je regarde la brise Agiter les feuilles Je pleure, cela m'est égal." Regard dérivant au gré de l'écho Que les murs fantômes ont établi
Portes fermées Aucun mot ne sort C'est le froid Le vent tombe Droit sur moi Les arbres sifflent Les étoiles Avancent Croix céleste : avion passe Lumières se mêlent. Pages se taisent Il y a de l'ombre Dans les bruits De mon rêve Quand il neige.
Nuage chaotique Crécelle mélodique Ô lente et clinquante galère Qui navigue sur la mer Couleur sang Blanc D'écume roulante et sifflante J'aime oublier Que j'oublie Et tiens : Au-dessus de l'eau Quelques bulles qui ballottent Mon coeur transporté Jusqu'au regard d'un voyageur A bord de l'avion qui coule Sur la rive du Styx céleste J'aime oubl
puisqu'il le faut je voudrais les histoires seules solitaires le temps d'une vie l'instant d'après mais tout finit et le jour finit l'horizon s'établit seul tous les visages "pour être aimé" un écart de silence sur la vibration de l'oeil bleu du monde tout ouvert tout rouge le soleil tombe écran noir je lis "la mort vint toute seule" et seule