On vous l'avait dit : pas moyen d'être tranquille plus d'une semaine dans ce village clochemerlesque. Un article était en préparation sur un tout autre thème tandis que nous apprenions que la rue Ferrachat était conviée ce jour pour lundi prochain à 18 heures en mairie afin d' aborder le ramassage des ordures ménagères. On croyait que le p
Agla
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Mon vrai nom est Bernard Michel : très intéressé par la vie publique locale ou non, j'entends ne pas rester observateur mais devenir acteur à ma façon.
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21/11/2009
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Économie, Finance & Droit
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Bonjour, bonsoir, C'est décidé en cette fête des papas gâte(a)ux : Picotin a fini de se battre contre des moulins à vent. Y' en a ki (ils s' reconnaîtront) applaudissent des deux mains, et s'ils le pouvaient applaudiraient aussi avec les pieds (c'est d'ailleurs à se demander s'ils n' y arrivent pas !) mais ne bougent surtout pas, ne voulant
Avant de tenter de parler de démocratie participative, il serait bon que le pouvoir représentatif local l’ait correctement définie et se soit préalablement entendu sur une démarche et des outils d’application. Quelques réflexions : Le Réseau Ecole et Nature nous dit que : « La démocratie participative est un système de gouvernance res
Bonjour, J'ai souvenir d'un agriculteur se moquant de certains confrères et qui disait "oh ! celui-là, il a le coeur à gauche mais le portefeuille à droite." J'ai aussi souvenir d'une émission de Drucker un dimanche aprèm pendant l'hiver (y devait faire froid!) dans laquelle l'invité était Guy Bedos. Ce dernier, parlant d'un ancien maire qu
Bonjour, Eh ouich ! Même à Ambierle ça existe cette espèce, autodéclarée, autonominée, autoproclamée, autodécrétée, autosatisfaite, autodiplômée, autovenue, autonéchue, pas autodidacte pour un sou, j'en autopasse et des automeilleures. On écrit trois bouts de papier pour être dûment référencé et autojustifié ... On préfère to
Il y a de nombreus es années à Ambierle un journal est né qui s'appelait Picotin. Si les dire sont exacts, il nacquit d'un certain nombre de dysfonctionnements et d'une envie de faire partager à la population des informations autrement que par un système où la censure éco rnait les réalités. Les passionnés de l'époque y sont allés de le