I L'ART COMME FONCTION ORGANIQUE En face de la conception schopenhauerienne de l'art qui découvre en toute activité esthétique une forme, un aspect, une expression de l'Absolu, où se manifeste par des images, des sons ou des gestes l'essence dernière et profonde du Réel, je pose une doctrine qui ne veut voir dans l'art que l’achèvement d'u
Renard
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Curiosité sans fin
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09/01/2010
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Mode, Art & Design
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Deux choses nous éclairent, qui sont toutes les deux imprévisibles : un amour et une mort. C'est par ces événements seuls qu'on peut devenir intelligents, parce qu'ils nous rendent ignorants. Ces moments, où il n'y a plus de social, plus de vie ordinaire, sont peut-être les seuls où on apprend vraiment, parce qu'ils amènent une question qui
Alors oui vraiment le Renard il percoit des couleurs, mais les couleurs ils ne percoivent pas le Renard. Alors oui vraiment le Renard il percoit des sons, mais les sons ne percoivent pas le Renard. Alors oui vraiment le Renard il ressent sa Chair, mais la Chair ne ressent pas le Renard. Alors oui vraiment le Renard il percoit ses pensées, mais ses
Il n'y a pas d'ici....pas de maintenant...il n'y a que vous.
Extraits du Chapitre II des “Dialogues sur l’expérience libératrice” : Spectateur devant le monde MENON. – … Voici un premier obstacle le monde objectif. Il a pour le soutenir sa force d’inertie. Nos sens l’explorent et le situent dans l’espace. Après la vue, le toucher l’examine. Ils le déclarent compact, durable. A voir les
On a coutume de dire que tous ce qui nait, meurs.... Sur un arbre éternel, les feuilles naissent puis meurent... les branches naissent et croissent.... Êtes-vous bien sûr de n'être qu'une feuille?
Personne ne nait avec ce concept de l'éveil. Personne ne nait avec ce désir d'éveil. On cherche soit son identité véritable...soit le bonheur....soit le pouvoir. Et un jour on tombe sur ce concept, l'Éveil. Et on se met à croire que cet Éveil est la solution à notre désir primordial. Alors on fini par perdre de vue l'objectif réel et on
"Notre être intérieur en position de lecture." Nous nous trompons sur la nature même de notre esprit. Nous le créditons constamment d’une pseudo-réalité. Nous considérons, ce qui est absolument irréel, qu’à l’intérieur de notre esprit tout se passe, comme sur terre, sur un mode perceptif. Et nous sommes dans l’impression constante
Gilles Farcet : Tout ce que tu viens de dire m’incite à considérer l’aliénation au regard de l’autre comme le premier de tous les empêchements à se creuser, à être. Steve : Je suis vraiment heureux que le message soit passé ! Ceci étant dit, notre totale absence d’autonomie intérieure nous pose un autre problème, presque aussi gr