Nicolas Sarkozy est à la recherche d'un Premier ministre depuis plusieurs mois ? Voici ma lettre de (non) candidature. Patrick Leplec Humeurs Mauvaises-sur-Overblog 00 520 Le Oueb Monsieur le Président de la République Palais de l’Elysée 55, rue du faubourg Saint-Honoré 75008 Paris Objet : Non-candidature au poste de Premier ministre. Monsie

Il était temps, diront certains. L'opus II de Patrick Leplec est enfin disponible. Ici, il ne s'agit plus de politique fiction ; juste d'une fiction, même si la "politique" n'en est pas absente (mais n'est elle pas partout ?). Dans "Chihuahua from Marseille", il y a les personnages humains et il y a un personnage unique, énorme, exubérant : Mar

Voici un nouveau petit conte futuriste dans la lignée des (fausses) prophéties précédentes. Perdre un point sur son permis est-il si grave ? A vous de voir. Nouvelle : "Point Final" - 1/6

Au train où vont les choses, et si l'on en croit l'actualité, il va falloir s'y habituer. Dans les années, les mois à venir, ceux qui y seront passés deviendront sans doute plus nombreux que ceux qui n'y auront pas gouté. Car de sept à soixante-dix sept ans, il sera bientôt difficile d'y échapper, à la garde à vue. Vols de Carambars , di

Evitons de revenir sur ce qui fâche la France éternelle qui s’étend de Clovis à Dominique Marie François René Galouzeau de Villepin. Ne discutons pas ces tentatives de rapprochement entre une équipe de football et l’individualisme de la société française inspiré d’un sarkozisme qui eut son heure de gloire. N’évoquons pas ici non

Chihuahua from Marseille est maintenant disponible en ebook sur le site Kobo.

« C’est le plus grand des voleurs »… à l’origine c’est la chanson du générique d’une série culte d’il y a bien longtemps. « Oui mais c’est un gentleman… » chantait Jacques Dutronc d’un ton merveilleusement désinvolte. C’était le générique de la série « Arsène Lupin », gentleman cambrioleur de Maurice Leblanc él

Et si Sarkozy dépassait Barenczi ?

C’est triste. Ma promenade vespérale avait mené mes pas vers cette place pourtant hospitalière, pas qui furent ralentis, sinon interrompus, par une escouade de gardiens, dont les uniformes auraient dû rassurer, armés de matraques ostensiblement agitées sous le nez de passants patients mais inquiets et interrogatifs. Les sacs étaient fouill

En attente de la prochaine chronique sur le même sujet...