Philippot rejoint le britannique Farage au Parlement européen Rédaction Reuters 1 MINUTES DE LECTURE L'ancien vice-président du Front national Florian Philippot (photo) a rejoint mardi au Parlement européen le groupe de Nigel Farage, figure du camp du Brexit au Royaume-Uni, a annoncé son parti, Les Patriotes. /Photo d'archives/REUTERS/Robert P

«Personne ne me fera passer, notamment aux yeux des électeurs FN, comme un diviseur», a répliqué Nicolas Dupont-Aignan. «Il y a beaucoup de gens qui apprécient ma façon, peut être plus sérieuse, moins flamboyante, de faire de la politique», a ajouté celui qui vient d'enregistrer le ralliement de l'eurodéputé Bernard Monot , cheville o

Tout d'abord, le résultat des élections sénatoriales d'hier, malgré l'indiscutable progression en voix-mais cet argument est précisément évoqué aussi par les défenseurs de la ligne Philippot face à ses détracteurs-montre avant tout que, si les "grands électeurs" "placés" par Florian Philippot ont probablement fait défaut, notamment da

Le fait est que ces réformes sont en train de "passer" sans provoquer la "vague sociale" attendue ce qui permet certainement à la France de conserver son "crédit" au prix évidemment d'un abandon de souveraineté. Qu'elles soient bonne ou mauvaises (notre avis sur ce point est nuancé), le fait qu'elles "passent sans heurt majeur" donne même un

Me souvenant qu'il y a une dizaine d'années voire moins, époque où je déplorais le défaut d'intérêt des mouvements souverainistes, et a forciori "nationaux" et "identitaires" pour "l'électorat droitier", manque d'intérêt accentué par une mauvaise interprétation et du "siphonage" sarkozyste en 2007- s'expliquant directement par la prise

Le fameux débat télévisé du second tour avec un Président de la République ayant bénéficié d'un "soutien financier, publicitaire et international ex-partisan" comme jamais vu dans l'histoire des démocraties occidentales, a, avec la prestation d'une Marine Le Pen ayant réussi à "créer" une "dynamique" en début d'entre-deux tours, a pos

réations d’emplois en hausse, légère baisse du chômage, reprise de la croissance… La France va mieux, mais à qui doivent aller les lauriers ? La question déchire cette semaine le petit monde macrono-hollandais dans une joute parfaitement ridicule. Car à la vérité, ni François Hollande ni Emmanuel Macron ne sont responsables d'un retou

Peu après l'élection d'Emmanuel Macron, un phénomène datant déjà de quelques années (mais peu exploité électoralement par le candidat En Marche en raison de la dialectique de "rupture" mais peut-être aussi de la conscience de l'aspect strictement "circonstanciel" de la reprise) a été bien médiatisé au point que, dans un premier temps,

Il a choisi de s'adresser au mensuel L'Incorrect et cela n'est pas un hasard. Dans le numéro d'octobre du magazine "de toute les droites" , comme il se définit lui-même, le président de Sens Commun Christophe Billan tend la main à Marion Maréchal-Le Pen, l'ex-parlementaire frontiste, retirée pour un temps du monde politique . Un appel du pie