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Wan Wan
Articles : 103
Depuis : 01/09/2009
Categorie : Musique & Divertissements

Articles à découvrir

Tu y crois, toi

Tu y crois, toi Au combat des coqs Dans la bassecour des puissants Et l’horreur de l’époque Les larmes et le sang Tu y crois, toi A la beauté des discours A l’aura du sacré Dans l’oreille des sourds Prêts à tout pour oublier La pâleur de nos jours La fuite des idées Et l’oubli de l’amour De la fraternité Mais j’y crois, moi A

Me Ressembler

Perdu dans les visages Que nous propose les ondes Je ne suis plus que l’image Des « penseurs » de ce monde Des exemples en orage Mon regard qui s’inonde Mes pensées en otage Quand le mass-media gronde Et sous ces tonnes de détritus Mon reflet saurait-il se miroiter ? Sous ces troupeaux d’individus Saurais-je encore me ressembler ? Vous av

Sur mes épaules

C’était un mois d’août dans la botte italienne Où on chassait les doutes d’une pluie diluvienne Qui s’abattait sur nous depuis déjà des semaines Et nos jambes à nos cous là où le vent nous mène Tu avais emmené dans ton sac à bretelles Ton doudou, des jouets, ton sourire éternel Et planqué tout au fond une surprise des plus bell

Soif D'Ames

Elle est avide cette soif d’âmes Quand tu les emportes à la flamme Une partie de moi à chaque fois Se nourrir du triste des anges Mais que donnes-tu en échange ? Des larmes semées derrière toi Et ces attaques perfides à outrance Qu’ont-ils fait pour autant de souffrance ? Je ne comprends toujours pas A travers le monde en chacun de nous

Charlie et nos frères

Allons enfants de la patrie Mettons nos bras autour de nos cous Ce soir ce n’est pas un chant mais un cri Un cri de douleur mais d’espoir avant tout A jamais les coudes serrés pour la liberté Celle de vivre et de s’exprimer A jamais nos cœurs serrés et solidaires En la mémoire de Charlie et de nos frères Je suis le silence l’espace d

Approche

Approche mon enfant, je vais essayer de passer Les incertitudes du temps, pour ne pas t’effrayer La peur qui est mienne, quand le soleil se lève L’innocence qui est tienne, devant un futur qui s’achève L’avenir dans tes yeux, brille comme nulle étoile Et ton rire merveilleux, me fait mettre les voiles Et j’éclaire dans ton ciel, comme

Avec Moi

Partout où je vais j’emporte avec moi Une chair usée par le temps qui passe Un amas de souvenirs qui traîne derrière mes pas Des cicatrices à l’infini pour que rien ne s’efface Gravées à jamais sur mon cœur et mon corps Pour faire de l’oubli un éternel espoir Pour remuer le couteau quand la mémoire s’endort Sur une plaie pansée

Pas un mot

Oui j'ai eu peur de parler Mais j'ai eu honte surtout Alors que j'aurais peut-être pu sauver L'innocence de mes frères à genoux J'ai fermé les yeux Certains jours, certaines nuits J'ai serré les poings silencieux Mais pas un mot, pas un bruit Et aujourd'hui je le sais Qu'il faut dire et redire Ce que l'on cache, ce que l'on est Parler était l

Rien N'A Changé

Non rien n’a bougé Le ciment demeure sous les plaines Il déborde des idées Jusqu’au béton dans les veines Qui saura déchirer A coups de mains qui saignent Qui mènera l’armée Des frères contre la haine Et au loin le soleil S’effrite sur l’horizon Et demain au réveil La sueur sur nos fronts Non rien n’a changé Les couleurs persi

Je Rêvais

Je rêvais de soleil, d’amour et d’eau fraîche Au Pays des Merveilles, et de murs plein de brèches Pour que s’infiltrent nos rires, nos rêves enfantins Tout ce qui me faisait dire, « oui la vie sera bien ! » Mais je vois de très loin que même toi tu doutes Tu te vois moins serein pour me tracer la route Tu as peur de ce monde qui a peu