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mathilde

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mathilde est un peu perdue parfois (tout le temps)... alors elle regarde les étoiles et la lune et leur souffle de jolis mots... (veux-tu devenir une de ces étoiles?) (peut-être en es-tu déjà une?)

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mes p'tits z'oignons

mathilde est un peu perdue parfois (tout le temps), alors elle regarde les étoiles et la lune et leur souffle de jolis mots (veux-tu être une de ces étoiles?) (peut-être en es-tu déjà une...)
mathilde mathilde
Articles : 113
Depuis : 15/03/2015
Categorie : Lifestyle

Articles à découvrir

paris pour le 17ème printemps

paris pour le 17ème printemps

il faisait tantôt gris, tantôt soleil, souvent froid... mais peu importait: Paris reste toujours Paris ☺ je crois que je ne me lasse jamais de ces paysages aussi caractéristiques de cette grande ville (j'ai fait de mon mieux pour te photographier, très chère capitale, mais j'ai encore beaucoup à perfectionner pour te représenter aussi joli
les herbes folles

les herbes folles

ça doit être la frénésie printanière, mais chaque plante m’émerveille depuis quelques semaines... et puis, même les pissenlits, les pâquerettes ou bien les boutons d'or ... toutes les plantes sans exception. alors parfois, je suis prise d'une envie folle d'en récolter quelques unes, puis de les avoir à mes côtés, sur mon bureau, dans
croire ou ne pas croire

croire ou ne pas croire

croire ou ne pas croire? les hommes ont-ils un jour eu le choix d'être hommes, dans leur condition médiocre, d'être vivants, dans leurs tristesses et leurs joies, les hommes ont-ils un jour pu croire ou ne pas croire, en eux?
rêve

rêve

je crois que je serais vraiment capable d'écrire des pages et des pages sur le sujet... de m'étaler de tout mon long, d'en faire des phrases à rallonge, avec utilisation intensive de virgules et autres décorations grammaticales... mais je vais me limiter à la retranscription d'un fragment de ma pensée, que je viens tout juste d’attraper au
le 18ème printemps

le 18ème printemps

et voilà, ça y est, métamorphose. ☆ ☆ ☆ ☆ je crois que j'aurais aimé rester une petite chose, toute petite, qu'on a peur de brusquer, peur de déchirer, d'ébrécher... mais on me parle sans filtre, on m'aborde sans remords, sans se douter de l'empreinte que les mots jetés comme ça laissent à l'intérieur de moi... est-ce que à 18 a
alors on a la poésie

alors on a la poésie

Dis-moi, ton cœur parfois s'envole-t-il, Agathe, Loin du noir océan de l'immonde cité, Vers un autre océan où la splendeur éclate, Bleu, clair, profond, ainsi que la virginité ? Dis-moi, ton cœur parfois s'envole-t-il, Agathe! musée d'Orsay - paris on a envie de beaux jours, de rayons de soleil, de pâquerettes dans les champs et de quelqu
ps: c'est le printemps

ps: c'est le printemps

c’est con d’être triste, déjà parce que c’est le printemps, et que tous les cœurs autour de moi fleurissent, mais surtout parce que j’ai jamais de mouchoirs au cas où les émotions voudraient se manifester sous forme liquide. et puis quand on est triste, on remarque tout un tas de petites choses qu’on avait jamais vues avant “tient
florilège des jours heureux

florilège des jours heureux

est-ce que tu as déjà voulu mettre ta tête en pause? moi oui, tout le temps même... alors cet été j'ai pris des bateaux, je me suis promenée dans les petits villages, sur les ports, dans la capitale ... des apéros en terrasse et sous des parasols travestis en parapluie île d'aix morbihan ne pas oublier de respirer, essayer de prendre les c
dublin fever

dublin fever

à peine arrivé sur le sol irlandais, l'immersion était totale: une bière à temple bar en se laissant enivrer par les artistes qui usaient de leur talent en live, là, juste sous nos yeux! une ambiance, une joie communicative, une pluie d'applaudissements... le tout sans réelle notion du temps qui passe mais qui prend, d'un seul coup, un goût
chère séville, me re-voilà

chère séville, me re-voilà

4 ans après, je suis de retour. non vraiment, impossible de t'oublier! c'est assez incroyable de partir loin de sa maison, mais de se sentir tout de même chez soi, à l'abri... en tout cas, l'émerveillement était toujours là devant les petits cadeaux que tu nous offres à chaque coin de rue, chaque boulevard, chaque bar à tapas. entre tes mos