Pas encore inscrit ? Creez un Overblog!

Créer mon blog
Gwen-Maël

Gwen-Maël

Solitaire ayant horreur de la solitude. Je me plais à marcher, à rêver, à méditer sur cette île de Groix devenue véritable muse. Les univers marins me fascinent...

Ses blogs

Houles intimes... Le blog de Gwen-Maël

Quand la force des images emporte notre esprit... Alors, vous entrez en Poésie...
Gwen-Maël Gwen-Maël
Articles : 1367
Depuis : 21/04/2007
Categorie : Mode, Art & Design

Articles à découvrir

Groix... Défilé de nuages...

Groix... Défilé de nuages...

Défilé de nuages Sur parchemin céleste Rondement angoissés Ils se pissent dessus Tel un rideau qui tombe Sur l’océan surpris Une brume de mer Qui aurait fui l’été Le rivage est inquiet Car même l’Atlantique Délaissant son estran Semble prendre congé Étonnante marine Qui déçue se chagrine Mais… Attendez un peu ! Les oiseaux sont
Groix... L'île semble sauvage...

Groix... L'île semble sauvage...

S’émouvoir tôt matin Des drisses qui caquètent Sous le ciel de satin D’une aube qui s’entête Les mille bruits du port Les mouettes qui s’éveillent La lune qui s’endort Et délaisse sa veille Le clapot sans vigueur Qui titille la cale Sous l’œil un peu gouailleur D’un goéland royal Sans ligne le rivage Se soustrait au regard L
Groix... Tel un voile jeté...

Groix... Tel un voile jeté...

Tel un voile jeté Aux pieds de mon aimée Mille feux projetés Jouent sur l’onde enflammée Le ciel semble sourire À cette île coquette Com’ s’il voulait fleurir L’océan en goguette Quel joli paradis Que ses landes apprêtées Aux heures de midi Qui s’offrent à l’été Et puis beaucoup plus tard Le ponant rougira La mer sera nectar

Nouvelles destinées...

Bonjour, Un lien nouveau sur mon blog de poésies et photos, pourquoi ? Voilà plus de 7 ans que mon blog est hébergé par « Overblog ». Cette société, nouvellement rachetée paraît-il, n’a pas pu résister aux sirènes de la publicité. Je l’ai toujours refusée, même si elle aurait pu me permettre de toucher quelques dividendes dans le
Groix... Dans le ciel des cheveux...

Groix... Dans le ciel des cheveux...

L’île comme figée Dans ses mauves bruyères Ses courriers* obligés Sous de douces lumières Les mouettes sans allant Les vallons endormis Des voiliers nonchalants Les nuages en tamis Une molle saison Sa brise un peu distraite Un tranquille horizon Ses parures discrètes Une aurore avortée Des étoiles sans vœux Le matin arrêté Dans le ciel
Le cocon se déchire...

Le cocon se déchire...

Le cocon se déchire Et la nymphe apparaît Mais comment s’affranchir Au cœur d’une forêt Devant elle, sous la soie Elle est là hérissée Sous un ciel qui flamboie À la nuit esquissée Ses remords, ses angoisses Ses chagrins et ses peurs Des âmes qui s’effacent L’invitent à la torpeur Plantée de ses douleurs Elle étouffe sa vie En
Le cortège des songes...

Le cortège des songes...

Le cortège des songes Tiré par une longe Défie la grande toile Où meurent des étoiles Puis l'ombre de la nuit Révèle sans un bruit Des rêves attristés Des cauchemars butés C'est une étrange empreinte Que leur lascive plainte Surgie d'un océan Qui confine au néant Il se raconte alors Que cette météore. Dissimule en son sein Nos plus t
Groix... L'océan se rebiffe...

Groix... L'océan se rebiffe...

Le bris soudain des funes D’un noroît égaré Vient contrarier la lune Dans ses jeux de marées L’arrivée des nuages Qui effacent le ciel Tire un drap un peu sage Et cependant sensuel Les étoiles une à une Referment leurs paupières S’offre alors à chacune Un étrange mystère L’océan se rebiffe De n’être plus alors Ce froid miroir
Cracher mon insolence...

Cracher mon insolence...

Cracher mon insolence Aux ablutions sordides D’un monde sans conscience À l’haleine fétide Royaume des banquiers Fourbes esclavagistes Vous voilà tous alliés Dans vos fièvres fascistes Même les religieux Mythomanes et cupides Au nom de leurs faux dieux Appellent au génocide C’est alors par milliards Que des femmes et des hommes Aux ord
Groix... C'est un beau jour d'été...

Groix... C'est un beau jour d'été...

Comme si des coulées d’huile Envahissaient le ciel Des voiles pour buvards Et des grues pour pinceaux C’est la rade qui s’offre À la mer apaisée L’aube prend ses couleurs Lorient somnole encore Il est dans les Courreaux D’étranges et longues barques Qui attendent lascives De pénétrer la belle C’est un beau jour d’été De ces jo