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Le Relais Enfants-Parents du Cameroun

Le Relais Enfants-Parents du Cameroun

Association qui oeuvre pour le maintien des liens parentaux dans les prisons du Cameroun

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Le Relais Enfants-Parents du Cameroun s'occupe du maintien des liens parentaux entre les enfants et leurs parents en prison.
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Articles : 11
Depuis : 13/05/2011
Categorie : Famille & Enfants

Articles à découvrir

Paroles d'enfants

"Pourquoi les gardiens ont des fusils en prison quand on vient voir maman? j'ai peur d'y aller" Bruno, 9 ans "Quand j'entre à la prison j'ai froid à l'intérieur de moi même" Pascaline, 12 ans "Je ne veux pas voir ma mère, elle m'a d'abord menti qu'elle était en Suisse pourquoi? elle m'a abandonné!" Christine, 10 ans "Mon père a été assass

Programme du REPCAM : octobre, novembre et décembre 2011

Programme du REPCAM, octobre, novembre et décembre 2011 Du 20 octobre au 20 décembre 2011, campagne de collecte de jouets pour les fêtes de noël des enfants dans 3 prisons du Cameroun. Du 7 au 14 novembre 2011, participation à un séminaire de création d’une plate-forme des intervenants de prison à Ebolowa-Cameroun, organisé par l’UNICE

Rapport de nos 3 fêtes de Noël dans les prisons, Déc 2011.

I- PRISON CENTRALE DE YAOUNDE, 21.12.2011 168 enfants ont répondu à l’appel du REPCAM pour cette cérémonie de l’arbre de Noel dans cette prison. C’est à 11heures que tous les bénévoles ont installé ces enfants qui venaient rencontrer leurs parents en détention. La première grande articulation a été l’atelier de dessin au cours d
ACCUEIL

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Le Relais Enfants-Parents du Cameroun est une association à but non lucratif, elle ne dépend pas de l’administration pénitentiaire et son objectif est de favoriser le maintien de la relation entre un enfant et son parent détenu. RESTER PARENT MALGRE LA PRISON Nous assistons les mamans qui accouchent et vivent avec leurs bébés en prison. Nou

RENTREE SCOLAIRE 2011-2012 DANS LES PRISONS DE YAOUNDE ET DE MFOU

Comme à l’accoutumée, le Relais Enfants-Parents du Cameroun a organisé la traditionnelle cérémonie de remise des fournitures aux enfants des détenus pour le compte de l’année scolaire 2011-2012. I- Prison centrale de Yaoundé C’est à 11heures et 30mn que l’équipe du REPCAM est rentrée dans la Prison Centrale de Yaoundé afin d’a

Lettre aux amis

Chers amis, Je suis entrée en contact avec Claire Mimboe Ndi-Samba, après l’avoir entendue interviewée sur RFI sur son action en faveur des enfants dont la mère est en prison. J’ai été sensible à la fois à sa simplicité et à sa détermination, sensible également à cette solidarité de proximité dont elle nous donne l’exemple. Dir
Comment parrainer un enfant du repcam

Comment parrainer un enfant du repcam

Avec votre don nous pourront accompagner près de 315 enfants au Cameroun concernés par l’incarcération d’un parent. Pour agir efficacement il faudrait à partir de 10euros ou 5000frs cfa par an : · 10€ pour accompagner un enfant à la prison pour refaire les liens parfois brisés, organiser la fête de noël, la fête des mères et des p

LES FEMMES ET LA PRISON AU CAMEROUN, LE REGARD DU REPCAM.

LES FEMMES ET LA PRISON AU CAMEROUN Avant l’arrivée des colons, les prisons existaient dans les villages africains, la femme était jugée et punie publiquement, ensuite elle était isolée pendant une période déterminée mais était libre de se mouvoir selon ses besoins, pour qu’elle réintègre la société elle devait subir des rites trad

Paroles de parents détenus

"J'ai hâte de voir mon bébé, c'est mon espoir, c'est lui qui me fait tenir en prison" Juliette, 32 ans "A chaque visite, mes 04 enfants me font des dessins et m'adressent de jolis mots d'amour, j'ai toujours des larmes aux yeux, des larmes de joie" Marie, 39 ans "La honte me ronge, le regard de mon enfant peut me tuer, je regrette ce que j'ai fa

L'histoire de Joël, le déclic.

Je suis JOEL, j’ai 15 ans, né au Cameroun et enfant de détenue. J’ai été repoussé par tout mon entourage à 12 ans et à cause de mon statut. Un jour, alors que je voulais jouer avec d’autres enfants de mon quartier, j’ai été chassé comme un malpropre. Ils ont dit qu’ils ne jouaient pas avec moi parce que j’étais fils de prison