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rouzet carole delbarre

rouzet carole delbarre

J'ai commençé à écrire trés jeune mais de façon trés irréguliere, juste par pulsions, un besoin plutot qu'une envie mais c'est toujours un plaisir

Ses blogs

Le blog de rocade

Ecrire de la poésie , ce n'est pas seulement remplir des pages, c'est faire frissonner les mots , vibrer les lettres et teinter les blancs ...
rouzet carole delbarre rouzet carole delbarre
Articles : 66
Depuis : 03/04/2009
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Conjuguer le verbe aimer à tous les temps

Je suis le présent du verbe aimer Je suis le passé du souvenir Je suis l’avenir de tes désirs Et l’imparfait, je l’éviterai A tous les temps, toujours agir Par tous les temps, garder le sourire De la constance pour réagir Et n’échapper aucun soupir Être présent à chaque instant Donner du verbe au plus que parfait Savoir aimer, bien

la poésie des sens

Elle écrit des poèmes Sur sa peau fatiguée Et les lettres se perdent Dans le pli de ses rides Elle dessine sur le sable Les mots, vite effacés Par le flot de la vie Que rien ne peut freiner Elle chante ces vieux airs Ou se mêlent les sens De bonheur et tristesse Et qu‘on oublie jamais Elle hume tous les parfums Que la brume transporte De la
La vie ,  je m'en balance   ! (  ELLE nous balance   ...)

La vie , je m'en balance ! ( ELLE nous balance ...)

La vie , comme sur une balançoire nous guide de l'avant , de l’arrière On prend plaisir à se remémorer le passé puis on regarde en face afin de se projeter dans l'avenir les souvenirs nous rattrapent bien qu'on leur tourne le dos alors on se propulse à nouveau afin de découvrir le futur nos yeux fixent devant , mais allons à reculons notr
Le compagnon du sans abri.

Le compagnon du sans abri.

Il est là, couché près de lui , la patte sur son épaule et la truffe prés de sa joue ..... Le temps est glacial ce matin , malgré sa couverture et son manteau, Roger doit avoir bien froid . Il s'est endormi hier soir après a voir chanté sa chanson préférée, les passants se retournaient amusés et lui donnaient la pièce, plus généreuse
Joséphine

Joséphine

Joséphine Finalement elle allait rentrer chez elle, ses recherches étaient vaines, , autant de jours perdus dans ce vieux village, que de temps, que d’efforts et de rêves inaboutis . Cette fois elle était décidée , elle partait pour de bon rejoindre la ville, elle ne voulait plus entendre parler de tout cela . Elle roulait vite, arriva brut

Envie de meutre !

Je voulais la tuer, elle me narguait profitant de cette liberté que je n'avais pas . cette légèreté qui lui permettait de se déplacer comme je l'aurais souhaité. Elle était face à moi me défiant , sachant que sa vivacité la protégeait, elle posa son corps doucement sur la chaise , celle que je venais de quitter . Non cette fois s'en éta