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Frère Noumark Wilfried Kamenan

Frère Noumark Wilfried Kamenan

Tags associés : poesie

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POÉSIE ET ÉCRITS DIVERS

AKOUABA (BIENVENUE) à toutes et à tous! Je m'appelle Noumark Wilfried Kamenan, jeune étudiant en Lettres. J'ai créé ce blog afin de partager avec vous ma passion, à savoir l'ECRITURE! Ainsi, je vous souhaite une très bonne visite, et n'oubliez pas de me laisser un commentaire pour me faire part de vos avis!
Frère Noumark Wilfried Kamenan Frère Noumark Wilfried Kamenan
Articles : 29
Depuis : 10/12/2014
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

NOSTALGIE

NOSTALGIE

«Nous pensons ardemment Au temps Où le monde était debout simple mais sûr» SONY LABOU TANSI Il fait nuit. Les géants bosquets balancent leur tête Comme s’ils étaient saoules ou qu’ils revenaient D’une fête. La lune aussi, charmante, semble saoule, L’éclat de son visage illumine toute la scène ; On entend du milieu des vallées ou
  SONIA

SONIA

Ô unique fleur de ma tendre jeunesse ! Timide chaleur qui amoureusement embaumait mon cœur, Jardin parfumé où ravi, je passais toutes mes heures, Je pense à toi, je pense à tes caresses. Le temps a passé et je ne t’ai guère oublié. Il me faut, pour te voir, seulement clore les yeux Et tu apparais, tel un soleil au milieu du ciel bleu, Le
LA NUIT IDEALE

LA NUIT IDEALE

(D'après une peinture de François Faucher - Autour du feu-) Un ciel clair peuplé d'étoiles, Du feu, des mets, de la musique, à boire; des amis et nouveaux-venus, mosaïques regards où la joie étend son voile. Alors le parfum de la bonne humeur partout se repeindrait; toutes et tous riraient Comme de grands enfants, comme ces fous Qui courent

VOYEZ-VOUS, LE MONDE EST JEUNE ENCORE...

Voyez-vous, le monde est jeune encore Même ridé, Des rides par d’avides monstres gravées. Nous sommes des monstres et d’effroyables sculpteurs Qui regardent le monde dans la loupe de ses désirs… Le bandji [1] de nos rêves inonde encore nos cœurs, Et, semblable aux fantômes nous ne sentons le monde gémir. Mais peut-être qu’au fond,

À UN POÈTE

Être Poète Ami, c’est être Autrui. C’est savoir contempler et le silence et le bruit, C’est savoir chanter d’une sagesse égale, Le monde : ses idées, ses tourments et son idéal. Hors du monde, pourtant dans le monde, Assis dans les immuables ondes profondes, Écarté de la suave haleine des mondains terrifiés, Le Poète plonge sa plu

VOICI VENU…

«Je n’ai plus d’espoir à glaner Dans la baie des combles » René BÉLANCE Voici venu la saison de tous les Renouveaux ; Les fleurs revêtent leurs plus beaux vêtements, L’hirondelle sur les ruisseaux plane joyeusement, Et les colibris dans les bois, heureux amants, Se redisent leur amour à nouveau. Le zéphire aux feuillages dorés fait
LE PETIT ÉCOLIER

LE PETIT ÉCOLIER

Son petit sac agrippé sur son dos ; Comme un aventurier ambitieux Et serein, Il parcourt mille lieux : Traversant villages et ruisseaux : — Pour apprendre ; apprendre à lire. Mais il n’y a rien qui lui fasse tant sourire Que cette journée dans la classe, Où une multitude d’enfants s’entassent Pour étudier : — étudier la grammaire. O

CINQ RIVAGES, CINQ SYLLABES

(Au Poète inouï) Ô Poète inouï Du fond de ton nid Entends-tu l’Aigle Chasser l’Espiègle ? Le désert aride Où résonne l’écho De ta voix livide S’est changé en eau L’espiègle a fui Au fond de la nuit Ses sanglots sont signe De sa voix indigne Le ciel dégagé S’est couvert de verts Cristallins orées Laissant passer l’air Po
 DERNIÈRES PENSÉES D’UN KAMIKAZE[1]

DERNIÈRES PENSÉES D’UN KAMIKAZE[1]

I Ô Allah, ma vie s’arrête aujourd’hui, Tu le sais — Car c’est toi que je suis ; Pour toi, je meurs en martyr, Et porte en mon cœur l’espoir des frères ; C’est de joie que je quitte la terre, Que je rends mon dernier soupir. II J’ai répondu présent à ton appel, Moi, autrefois pécheur et rebelle. Je ne suis pas perdu, puisque j

SOUPIR

Donnez aux fleurs, de la rosée, Jusqu’à ce que vienne l’été. Donnez aux cieux, des nuages, Jusqu’à ce qu’ils maitrisent leur rage, Donnez aux nuages, des ailes, Jusqu’à ce que le vent se gèle, Donnez aux ailes, des âmes, Jusqu’à ce qu’elles s’enflamment, Donnez aux âmes, des voix, Jusqu’à ce que l’azur les perçoit, D