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jean bertolino

jean bertolino

Ecrivain et Journaliste Paris-Saïgon en auto-stop de 1960 à 1961. Correspondant de la Croix à Phnom penh de 1961 à 1964. Reporter de guerre de 1965 à 1980. Prix Albert-Londres en 1967. Chef du service des Grands reportages à TF1 de 1981 à 1986. Créateur et animateur de 52 sur la Une de 1967 à 2001.

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un blog d'humeur
jean bertolino jean bertolino
Articles : 1780
Depuis : 29/10/2014
Categorie : Politique

Articles à découvrir

Gare au naufrage

Gare au naufrage

Parfois j’ai la démarche qui flanche comme hier matin ( glissez sur la pub) Sur Le Chemin des Sables qui mène à Juan-les-Pins Gare au naufrage Il y a certains matins où comme une limace On se traine sans but, fatigué, douloureux. Le plus petit effort nous arrache des grimaces Et la moindre pensée ne nous rend pas heureux. On se sent aussi v
Un merci en vers et contre tout

Un merci en vers et contre tout

MERCI LES OPTIMISTES… Quelle chance d’être guidé par un Odin Jovial Qui a pris pour nous plaire une couleur tropicale Et qui, loin d’être un dieu viking fort belliciste, Se plaît à fédérer des fidèles optimistes Pas simple dans ce monde en pleine effervescence Où prédominent hélas les haines et la violence. Mais bon, ne sommes-nous
La joie de ressentir

La joie de ressentir

Même quand la vue s’en va …( Glissez sur la pub pour lire le poème) La joie de ressentir. Trop de clarté m’aveugle et pas assez aussi. Sous mes yeux se déploie un monde imprécis. Les humains ne sont que de mouvantes silhouettes Flottant sur des trottoirs qui ne sont plus très nets. Les immeubles, comme des enceintes de prisons, Se dress
Un jeudi plein d'émotion

Un jeudi plein d'émotion

Retrouvailles optimistes Chez Jean-Pierre Guérin qui fut un très bon directeurs de l'inf ormation ( glissez sur la pub) Un jeudi plein d’émotions Dame corneille sur un proche tilleul perchée, Près de notre fenêtre couvait sa nichée, Pour qu’elle puisse accomplir sereinement sa tâche Maître corneille gardait les abords sans relâche. Le
Nestor L'Ukrainien

Nestor L'Ukrainien

Ma pensée du jour (Glissez sur la pub) Nestor l’Ukrainien. Il y a des drones qui, presque chaque nuit, le hantent. Ils passent dans le ciel comme des étoiles filantes. L’œil dans son lance-missile, Nestor guette le moment De les faire exploser avec leur chargement. Il en a tant stoppé durant son tour de veille Que les drones viennent aussi
C'était hier

C'était hier

Notre jeudi chez l’ami Jean-Pierre. C’était hier… Les « Optimistes» aiment retrouver ce cher Odin. Leur dieu tropical, rieur, charmeur et coquin A plus de qualités qu’un cadet de Gascogne Qui était, dit Rostand, menteur et sans vergogne Certes, à notre époque, « Me Too » n’existait pas Une chance pour lui et certains d’entre no
Hommages Tardifs

Hommages Tardifs

Le dernier jet d’un jeudi agité ( glissez sur la pub) Hommage tardif Sur les navires les guetteurs s’appellent des vigies Avant les radars ils surveillaient les lointains Chez les Optimistes on a des fées du logis Qui veillent à ce qu’aucun de nous ne meure de faim. Elles agissent discrètement pour qu’on ne les voit pas Passent de table
Le tailleur de biface

Le tailleur de biface

Ma pensée du jour ( glissez sur la pub) Le tailleur de biface A quoi pensait-il donc en taillant son biface Cet être sans crocs, sans griffes, face aux fauves et rapaces, « Nu et désarmé » disait Teilhard de Chardin Dans son ouvrage édifiant « L’animal humain » ? Pour se défendre et survivre une idée lui vint : Pourquoi ne se servirait
Terre Promise

Terre Promise

« C’est pas l’homme qui fait la terre, c’est la terre qui fait l’homme ». ( glissez sur la pub) Terre promise… Pourquoi de cette terre considérée comme sainte Par les religions juive, chrétienne et musulmane, Montent des cris de guerre, des hurlements, des plaintes Dus à des crimes odieux et des vengeances infâmes ? Moïse fut le p
Paresseux goélands

Paresseux goélands

Sortie du petit matin (Glissez sur la pub) Paresseux goélands La cloche comme d’habitude vient de me réveiller, Et derrière les branches du micocoulier Je peux apercevoir la colonne impavide Des pins qui se découpent le long du cap d’Antibes. Les palmiers aujourd’hui paraissent médusés. La samba des grands vents a dû les épuiser. Seul