La nostalgie du jour… (Glissez sur la pub) Les belles Maghrébines. J’adorais les Beurettes des années quatre-vingts Leur teint ensoleillé, leur belle chevelure, Leurs yeux noirs et ardents, leurs rires cristallins. Elles avaient de l'audace, du charme et de l’allure. Elles étaient effrontées, fières et audacieuses, Raillaient les faux-d
jean bertolino
jean bertolino
Ecrivain et Journaliste
Paris-Saïgon en auto-stop de 1960 à 1961. Correspondant de la Croix à Phnom penh de 1961 à 1964. Reporter de guerre de 1965 à 1980. Prix Albert-Londres en 1967. Chef du service des Grands reportages à TF1 de 1981 à 1986. Créateur et animateur de 52 sur la Une de 1967 à 2001.
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Politique
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Parfois j’ai la démarche qui flanche comme hier matin ( glissez sur la pub) Sur Le Chemin des Sables qui mène à Juan-les-Pins Gare au naufrage Il y a certains matins où comme une limace On se traine sans but, fatigué, douloureux. Le plus petit effort nous arrache des grimaces Et la moindre pensée ne nous rend pas heureux. On se sent aussi v
Bientôt là (Glissez sur la pub UNE MAISON LIBRE Notre maison ne nous appartient pas, c’est sûr, Même si nous l’avons achetée pour en jouir. Tant d’autres avant nous ont vécu dans ses vieux murs Elle les a tous vus naître et les a vus mourir. Lorsque je la contemple, « pinquée » sur son rocher Elle me fait penser à une tour de garde
Les journaux télévisés ont boudé cette info. ( Glissez sur la pub) Le suicide héroïque du soldat Aaron Il s’appelait Aaron, Aaron Bushnell. Son prénom est très répandu en Israël. Il descend en droite ligne des Hébreux d’antan, Le frère de Moïse le portait en son temps. Celui dont je vous parle était Américain Et dans l’US Air f
Haïti qui a déjà connu tant de misères vit désormais sous la terreur des gangs. Mais bon dieu, pourquoi l’adversité s’acharne-t-elle avec tant de rage sur ce peuple brillant de peintres, de poètes, de musiciens, de chanteurs. Un poème que j’avais écrit il y a cinq ans après avoir pris le taxi de Basile le haïtien m’est revenu en
Pour accompagner le beau poème de l'aède occitan. ( Glissez sur la pub) Les nuances du deuil Le temps comme la mer qui efface sur le sable Les empreintes laissées par les derniers passants Estompe des mémoires l’image insoutenable D’un être qui s’éteint sous des yeux impuissants. Peu à peu ne subsiste qu’une trace légère Qui dans l
A propos de la panthéonisation du groupe Manouchian. ( Glissez dur la pub) D’inoubliables héros J’allais avoir huit ans quand on l’a fusillé Lui et ses camarades, d’audacieux équipiers Qui chassaient les nazis en pleine occupation Risquant chaque jour torture et exécution. L’horreur, dans l’histoire du réseau Manouchian, C’est q
Réminiscence. (Glissez sur la pub) Entre Savoie et Ariège T ous deux nous venons de pays aux montagnes bleues Qui se parent d’hermines blanches durant les froids hivers, De pays où les arbres aux feuillages de feu Rougeoient après des saisons baignées de lumière. Toi, tu es d’Ax les Thermes, de cette haute vallée Ariégeoise où l’acce
Cette critique ne vise pas les petits propriétaires terriens qui eux connaissent de vraies difficultés et qui, souvent hélas, se font racheter par les plus gros ( Glissez sur la pub) Ceux qui crient le plus fort sont-ils les plus à plaindre ? Quand on sait ce qu’on sait sur cette agriculture Qui a tué beaucoup d'authentiques paysans Peu tent
Réveil antibois (Glissez sur la pub) Phœbus est de retour L’épisode méditerranéen a eu voix Au chapitre et ce n’est pas de la meilleure des proses Le vent, la pluie, les vagues en ce mois de ventôse Croient me décourager. Il n’en est rien ! j’ose Quitter un Paris gris pour une Provence morose Il pleut, il pleut partout, même ici, au