Dans les couloirs de ces nuits où le sommeil est aride, je vide le chargeur de mes mots. C'est ainsi que je lutte contre l'angoisse du vide. A l'heure fatidique du sommeil, même mon médecin me l'a dit, on peut randonner solitaire sur le plateau de l'anxiété. Afin de combattre ponctuellement contre la peine de son attitude, mon docteur me déli
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Créations de textes poétiques, avis littéraires, et tant d'écris... vains !
Malcolm J.
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01/06/2011
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Littérature, BD & Poésie
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J e me lève, comme d'avis russe après la soirée vodkaïsée, alors que je suis plutôt d'avis croquette, enfin céréales. Je ne me fais pas de bile, bas, haut, je gère... Je poursuis tel un louveteau mal adroit et non un lève-tôt gauche à souhait ! La lumière qui s'immisce par la fente de mes paupières, rode et apure mes pièces sensitive
L’arrière plan de l’image se noie dans un blanc épuré ; il n’en fait jaillir que plus flamboyants les élans capillaires aux reflets iridescents de la belle captive photographiquement sage. Les mèches saillantes s’ordonnent harmonieusement ; l’ensemble sied parfaitement au charme du visage. Le regard, plein de défi et d’attente à
Il s'agit du premier roman que je lis de cet auteur norvégien (ça change de la Suède qui a le vent en poupe, ou de l'Islande pour ce qui est de la mode des polars scandinaves), et j'en suis agréablement surpris. Rien à voir avec Mankell et les atermoiements incessants de Wallander. Nesbo fait assumer à son héros une descente aux enfers, sans
« Il nous semblait parcourir des catacombes ; il y avait là mille êtres vivants, et cependant c’était une solitude. »
Le style d'Ellory va en profondeur. Progressivement, l'auteur creuse une fosse oppressante d'où il est difficile de s'extirper tant elle flirte avec la réalité. "Les anonymes" portent bien son titre mais gagne à être connu. Cependant, le thème est différent de "Seul le silence" et peut paraître ennuyeux si on ne s'intéresse pas à la géo-
Alors que, résigné, l’été se débine, L’âme tangente, je parcours les collines. Le blé se dresse haut, le maïs le dépasse. Le labeur revient dans son entrepôt, acharné ; Laissant la chaude folie dans son hôtel de passe, Pendant que lui, reprend ses rênes d’affligé. Je goûte, de facultés, à cette phase étrange… Douce-amère
"Si tu regardes trop longtemps l'abîme, l'abîme aussi regardera en toi."
« Et les jours dont je me souviens sont partis. Ils se sont fondus en silence dans un passé indistinct. Pas seulement partis, mais oubliés. C’étaient des jours dont je pense qu’on ne les reverra jamais. »
Intro-succion Lorsque la morphine part sur des dérives non thérapeutiques, Le commerce illicite sème une poudre prisée. La neige, dont l’effet boule attire vers le vide hypnotique, Paraît tellement anodine dans son négligé de nudité ! Pourtant il faut montrer patte blanche pour approcher, Même dans ses connaissances, les initiés. Elle s