Pas encore inscrit ? Creez un Overblog!

Créer mon blog
Curifice~

Curifice~

Ses blogs

The pious crisis

Un tout errant,un bon dilué,un zeste,frêle,lucide,téméraire,vulgaire .
Curifice~ Curifice~
Articles : 11
Depuis : 15/06/2014
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Car c'est là que je me blottirais

Car c'est là que je me blottirais

Photography by Giglio_Bianco Contre toi,car je me sens bien Ta chaleur me fait du bien Je pense à toi qui me sert contre toi Bien que je sais que tu ne penses qu'à ça Mais je m'en fiche pas mal Je me sens bien Alors que tu rêves d'elles Qui n'en finissent jamais Moi je te rêve Je rêve que tu n'étais qu'à moi Mais tu ne l'es pas Et je me blo
Laideur amortie

Laideur amortie

Présence d'esprit incessante,glorifiante,lassante,méchante,absente. Regarde comme tu es laid ,crochu de cette imparfaite reliure qu'est ce corps érodé ,une tombe,une trombe,un piège qui pige tout,subit tout ,refoule tout ,maigre,frêle,solide et bref,une vraie prison pour un esprit si révolté,tant des-aventuré tellement coincé dans un pris
Féerie castré

Féerie castré

Aujourd'hui je suis né pour la première fois , morte pour la énième fois et j'ai la même étrange sensation qui frôle mon vide . Je n'ai fait que penser à toi cherchant un réconfort pour me reposer.Je n'ai souhaité qu'une chose , c’était plus fort que moi. En passant par tes nuages,j'ai souhaité que tu me vois , que je te vois, qu'il y
Gaïa

Gaïa

Mains d'or,esprit nocif , une claque sur l’épaule étreinte incomprise impulsive impressive totalement ludique prison d'une ma-choir scellé à un cœur tordu de fantasmes irréels d'illusions allégoriques,une battante une castratrice une pantelante une vraie déesse de la trempe,quelle tromperie quelle méprise quelle gausserie une idyllique u
le Toubillon

le Toubillon

Propulsé d'un élan écrasé c’était un automne sans fleurs ni pétales il y'avait là une odeur de prison incomprise presque effleuré par une touche de talisman stérile , lumiere manquante, le cadre effreiné regarde toi,pris dans ce tourbillon de haine Glorieuse reliure ,majestueuse douce et essoufflé Balance toi, viens dans mes bras respi
Les aliénés

Les aliénés

es-tu d'accord ? oui. Hélas,heureusement ou même , ah,que veulent dire ces mots ? comment arrivent-t-on à croire aux mots ,aux maux,ou aux deux ,pour soulager nos mots,nos maux,ou même les deux. Ah oui ? Auriez-vous un bon whisky ? Non,je ne bois pas,je fume pas ,à la limite prés, j'aurais été une sainte,sans toi. C'est ecoeurant,erreur,err
Vous me faites ,un peu peur.

Vous me faites ,un peu peur.

Sssh,taisez-vous. S'il vous plait,taisez-vous,vous me faites peur. Affamé,il m’était survenu que,présence méconnue,tirage effronté,ce n’était qu'une affreuse désillusion. Non,non,un bout dérisoire d'une enfance stérile,une crainte morne de mouchoirs en pétard et un goût amer pour celui du vécu. Lance-toi voyons. Bon disons,disons,di
Gali-a

Gali-a

Le flou s'abattait sur moi.Ma vue grisait. Je bourdonne. élan de soupirs naufragés ,paraffinés ,heurtés. Fructueuses Un son Un son sourd, Me rendait Muet , Brumeux,indiscret vacillant vers une boule funeste et l’étoile qui m'attendait si belle ,là et là, par sa majesté. un bolide bien marqué,je m'en souviens c’était léger,voilé,brif
Une traînée meurtrie

Une traînée meurtrie

C'etait à moi ,tout ça, Oui tout ça, c’était à moi et on me l'avait enlevé la seul chose qui prouvait que j'existais que j’étais,que je pouvais que je ne mentais enfin je le croyais j'y avais crû,j'y ai bien crû et je continuein enfin je crois je sais pas c'est fou c'est si flou ses fluctuations sont encore là à jouir de ma lumière
Alz-aimer

Alz-aimer

MICHAEL CARSON, "FOLD," Je me sens vide,seule,viens là. Étouffée,cerveau en pagaille,je suis désertée. Il faut que je sorte sinon je saute. il faut que je respire sinon je le fais. Je le fais je m'en fiche pas mal. Tant pis je sors boire une bouffée d'air frais. C'est bon je suis rassasiée. je ne vais plus sauter.Enfin je crois. Il y'a un ba